IMMO 974 – créé le 03.11.2021 à 16:26 – mis à jour le 03.11.2021 à 16:26
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Selon des règles équitables, l’entretien de l’ascenseur collectif est à la fois une obligation légale et une charge répartie entre les copropriétaires. Comment répartir et mieux maitriser les charges liées à cette dépense ?

 

L’entretien des ascenseurs, une obligation légale

La maintenance des ascenseurs est une obligation encadrée strictement par la loi. Elle précise l’obligation pour les copropriétaires de souscrire un contrat d’entretien. L’ascenseur doit ainsi faire l’objet d’une visite d’entretien toutes les six semaines, d’un entretien annuel avec la vérification des parachutes et le nettoyage, ainsi que d’un examen semestriel des câbles.

À ces opérations obligatoires s’ajouteront les interventions occasionnelles, notamment en cas de dysfonctionnement ou de panne. Toutes ces opérations seront réalisées par un seul prestataire, avec lequel un contrat d’entretien annuel est signé, relate le site edito.seloger.com.

 

Une répartition des charges très encadrée

Le coût de la maintenance de l’ascenseur est réparti entre les copropriétaires en fonction de leur utilité au regard de leur lot. Ainsi d’après le règlement de copropriété, plus l’étage du lot détenu par le copropriétaire est élevé, plus sa participation financière sera importante.

Quant aux charges, elles concernent les dépenses d’entretien, mais également les travaux de remplacement, la mise en conformité, etc.

 

Maitriser les coûts, un enjeu très important

Maitriser les coûts d’entretien d’un ascenseur est plus que nécessaire pour tous les copropriétaires. Ces derniers doivent ainsi signer un contrat d’entretien.

Attention ! Il est important de s’assurer de l’expertise des techniciens, de la qualité de la prise en charge des demandes, de leur proximité avant de choisir un prestataire. Il ne faut pas ainsi se limiter au seul tarif.

 

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